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Ils parlent de nous 

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Enfant Bordeaux

Papa Yann parle de nous ! 

A l'occasion de l'ouverture du magasin Mille et un trésors, Yann qui gère la page facebook, instagram "Enfant Bordeaux" et le site "www.enfant-bordeaux.fr", Yann a écrit un article.

Et il a fait sensation !! 

Du monde attendait l'ouverture avec impatience, et nous aussi ;) 

Supers mamans de Bordeaux

Les supers mamans de Bordeaux sont venus déjeuner un midi ! Une terrasse pleine, des brunchs très appréciés. Des rencontres se sont faites. C'est le but de cette boutique, créer du lien ! Femme enceinte, femme en post partum, hésitez pas à passer et vous détendre, vous ne serez jamais seule ! 

Merci Léna ;) 

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Mairie de Bruges

Madame la Maire Brigitte Terraza, ainsi que des élus, des membres du cabinet sont venus me rendre visite lors de l'inauguration du 11 juin. Nous avons mis en commun nos idées, nous allons créer des passerelles entre les différents services de la commune. Madame la Maire a compris le but de cette boutique, un lieu ressource ! Et m'a donc convié à la journée bien être de Bruges qui à lieu une fois par an. 

Madame Terraza, a mis en lumière cette journée sur son compte Facebook, preuve de son intérêt, j'ai hâte de continuer ensemble ! 

Merci à la ville de Bruges.

Ils parlent de la seconde main 

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Magic maman 

https://www.magicmaman.com/maman-j-augmente-mes-revenus-grace-a-la-seconde-main,3698036.asp

"Le marché de la seconde main connaît un succès retentissant depuis quelques années. Pléthore de sites comme Vinted ou encore Le Bon Coin permettent notamment de revendre ses vêtements et de dénicher des bonnes affaires. Une étude réalisée par l'entreprise de fintech Tripartie révèle ainsi que le marché de la seconde main en France est estimé à 7 milliards d'euros. A l’échelle européenne, un récent sondage de l’Observatoire Cetelem dévoile que 80% des Européens de moins de 35 ans ont mis en vente des biens d’occasion en 2021.

Le catalogue varié de la seconde main

L’attractivité de la seconde main est principalement due à la variété du catalogue des plateformes, généralement éclectiques. C'est simple, on y trouve de tout ! Par exemple, quelque 500 catégories de produits pour enfants sont disponibles sur Beebs allant du textile, aux jouets en passant par l’électronique. Une offre variée qui permet à Cécile, 37 ans et mère de quatre enfants,  de jouer sur tous les tableaux : “On achète et on vend des vêtements, des jouets, des chaussures, des accessoires tels que des lunettes de soleil, des chapeaux. Mais aussi du matériel un peu plus spécifique comme des rollers.”

La seconde main, une démarche écologique 

L’industrie du textile est la deuxième industrie la plus polluante au monde. Chaque année, plus de 100 milliards de vêtements sont vendus dans le monde. C’est 60% de plus qu’il y a 15 ans. Rarement mis en avant, le gaspillage vestimentaire concerne pourtant les habits pour enfants. Tout parent qui se respecte vous le dira : un enfant, ça grandit vite et régulièrement, de nombreux vêtements neufs et très peu utilisés sont mis à la poubelle. Selon une étude menée par EVEA à l’hiver 2019, 64% des vêtements de bébé ne sont pas abîmés et donc réutilisables. Cécile loue l’aspect écoresponsable de la démarche : “ Ça fait un peu plus de dix ans que je ne vends et achète en occasion car c’est écologique. Pour moi il n’y a pas besoin de produire plus pour être bien habillé ou bien chaussé. “

Aurélie qui s'adonne à la seconde main depuis deux ans, accorde une importance capitale à la lutte contre le gaspillage : “Je n’aime pas gaspiller ni jeter et mon  compagnon ne supporte pas ça non plus, il est pire que moi ! Mais au bout d’un moment, quand on a un enfant, on n’a pas le choix car on accumule trop de choses. Il fallait qu’on trouve une solution. Je ne voulais pas jeter pour que ça finisse dans les bennes à ordure, je ne sais où. Là au moins en revendant, je sais que ça va servir à une petite fille ou à un petit garçon qui en a besoin.”

L'occasion rime-t-elle avec qualité ?

Les arnaques à la seconde main sont de plus en plus récurrents, notamment depuis la pandémie de Covid-19, où les confinements ont fait exploser le marché d’occasion. En Belgique par exemple, l’Inspection économique du SPF Économie a reçu 872 signalements de personnes victimes d’escroquerie lors de ventes via des plateformes de seconde main. Des fraudes qui ne semblent pas effrayer nos mamans qui n’ont jamais été confrontées à quelconque arnaque sur les applications. “Depuis 10 ans, je n’ai jamais eu de soucis particuliers à part une fois où j’ai reçu un pull avec la mauvaise taille, mais rien d’alarmant !”, témoigne Cécile. 

Aurélie a également toujours été satisfaite de la qualité des produits : “Du peu que j’ai acheté dans la seconde main, je n’ai jamais eu de problème. Concernant la vente, j’essaye toujours d’être vraiment réglo là-dessus car je n’aimerais pas que ça m’arrive en tant qu'acheteur. Par exemple, j’essaye de mettre toujours une description précise du produit que je vends. La seule mauvaise expérience que je pourrais relever, c’est la négociation. Les gens négocient en permanence et il faut parfois être tenace”

PUBOSPHERE

https://pubosphere.fr/seconde-main-un-marche-en-plein-essor/

SECONDE MAIN, UN MARCHÉ EN PLEINE CROISSANCE

3 JANVIER 2024

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POSTÉ PAR SECOND32

Essentiellement stimulée par la prise de conscience écologique, la crise économique et l’essor du e-commerce, le marché de la seconde main connaît une croissance impressionnante, ces dernières années.

Le marché tricolore est passé de 1 milliard d’euros à plus de 7 milliards d’euros en à peine 5 ans. Ce phénomène devrait se poursuivre et atteindre 10 milliards d’euros en 2025. Le marché mondial devrait doubler et peser 350 milliards de dollars d’ici 2027. Le marché s’est diversifié, il englobe désormais tous les secteurs.

La mode est la catégorie la plus dynamique du marché avec 48% de part de marché. Suivie de près par les produits culturels qui représentent 43%. Les meubles et objets de décoration affichent 34%. Les indispensables smartphones et l’high tech complètent ce panorama avec 12% et 8% de part de marché.

Même si la motivation première à l’achat de produits d’occasion est plus économique qu’écologique, ce mode de consommation responsable est bien ancré dans les habitudes des Français. En effet,73 % ont déjà acheté un produit d’occasion au cours des 12 derniers mois et 87 % en ont déjà vendu cette année.

Cette tendance se confirme car 40% des consommateurs achètent au moins un produit d’occasion par mois. Le bon coin, Vinted ou encore Back Market ont littéralement bouleversé les codes du secteur.

Ces plateformes ont démocratisé la seconde main et rendu le marché plus accessible et très compétitif. Les enseignes traditionnelles et les acteurs historiques de la seconde main se sont adaptés à cette profonde mutation du marché. La concurrence s’est intensifiée avec l’apparition de nouveaux acteurs et le CtoC s’impose comme le mode d’achat préféré des Français si bien que 84 % des consommateurs se tournent vers des particuliers pour acheter des produits d’occasion.

Plus qu’une tendance, la seconde main est devenue un mode de consommation incontournable. Focus sur l’essor de la mode de seconde main, sa concurrence, ses perspectives et ses limites.

 

Une économie circulaire vertueuse :

L’industrie de la mode est l’une des plus polluantes au monde. Cet impact néfaste est notamment dû à l’utilisation de ressources naturelles non renouvelables, à la production massive de déchets et à la pollution de l’eau. La mode de seconde main consiste à acheter ou à échanger des vêtements ou accessoires qui ont déjà été utilisés par une autre personne. C’est l’alternative durable qui permet de prolonger la durée de vie d’un vêtement. Chaque vêtement porté à un impact sur l’environnement, de sa production à sa fin de vie consommer un vêtement de seconde main réduit l’empreinte carbone de 82% par rapport à l’achat d’un vêtement neuf.

 

Une question de générations : Vintage addict, écologiste averti ou besoin de faire des économies, la mode de seconde main séduit de plus en plus. Le marché français est estimé à plus de 1 milliard d’euros et ce chiffre devrait progresser dans les années à venir. Soucieuse de son empreinte écologique et à la recherche constante d’un style unique, la génération Z en a fait un mode de consommation alternatif. Selon une étude Enov, de manière générale, les 25-35 ans sont les plus grands consommateurs de produits d’occasion. Principalement féminin, les « accros engagés » consomment très régulièrement des produits de seconde main tant pour des raisons écologiques qu’économiques. Contrairement à leurs aînés les« prudents économes » représentés par les 55 ans et plus qui n’achètent et ne vendent qu’occasionnellement de la seconde main.

 

Un essor accéléré par le digital :

Si, arpenter les interminables étals des friperies et des vide greniers était la seule option pour chiner des pépites de seconde main. Les plateformes comme Le boncoin, Vinted ou encore Vestiaire Collective ont sensiblement changé la donne. Désormais, quelques scroll suffisent pour dénicher un pull ou une robe de créateur d’occasion.

Aujourd’hui, 59% des consommateurs utilisent le digital pour acheter ou vendre un produit d’occasion.

Ces plateformes ont vulgarisé le marché , aujourd’hui l’économie circulaire est incontournable puisque 80% des sites et applications les plus visités en France proposent de la seconde main. 

Amazon se maintient en tête du classement avec 37,8 millions de visiteurs par mois. Le boncoin est en seconde position avec 27,8 millions. Vinted, leader de la mode d’occasion, est en quatrième position avec 16,6 millions de visiteurs. En 2023, la plateforme de seconde main représente à elle seule 12,6 % du volume des achats de vêtements en ligne. Les géants du e-commerce Amazon et de l’ultra fast fashion Shein détiennent respectivement 9,1 % et 8,6 % de part de marché.

Leader de la mode d’occasion :

Lancée en 2008, Vinted domine le marché de la seconde main depuis plusieurs années. La plateforme d’achat et de revente de produits d’occasion est présente dans plus de 16 pays. Son chiffre d’affaires est évalué à plus de 371 millions d’euros en 2022. La plateforme aux 80 millions de Vinties (utilisateurs) connait une importante croissance grâce à sa redoutable stratégie marketing. Vinted y a consacré un budget colossal (+ de 37 millions de livres en 2022). Elle a développé une stratégie marketing très performante pour asseoir sa notoriété et avoir plus de visibilité (spots TV et réseaux sociaux). Ce qui fait le succès de Vinted c’est que le vendeur perçoit l’intégralité du prix de vente qu’il a fixé. Contrairement à certaines plateformes les frais de port et commissions sont à la charge de l’acheteur. Véritable plateforme sociale les avis et expériences utilisateurs y sont directement partagés. Ce qui permet aux utilisateurs de commenter son expérience et parcours d’achat. Vinted fidélise ainsi les conquis et attire chaque jour de nouveaux utilisateurs.

 

 

Une économie vertueuse ? :

Les acteurs de la seconde main se sont multipliés ces dernières années et la concurrence est rude. Le nombre de plateformes d’achat et de vente en ligne a explosé, la dernière-née est « Pré owned » lancée en septembre dernier par Zara. La marque s’engage en faveur de la durabilité et propose un service de réparation de ses vêtements et accessoires. Zara va plus loin dans sa démarche RSE et collabore avec l‘association le Relais pour collecter et recycler des vêtements usagés. Cette collecte se fait directement auprès des particuliers ou en magasin. Si les plateformes de seconde main sont en plein essor, les friperies physiques et associatives comme Kilo Shop, Marché noir (mode de luxe) ou encore Label Emmaüs n’ont pas dit leur dernier mot. Ces friperies ont repensé leur modèle économique pour s’adapter aux évolutions du marché car 74% des acheteurs en ligne vérifient systématiquement la disponibilité d’un produit sur le marché de l’occasion. Ces pionniers du secteur ont renforcé leur présence numérique. Ils ont développé des sites performants, optimisé leur SEO et proposent des contenus engageants et dynamiques sur les réseaux sociaux.  Cette stratégie cross canal leur permet de proposer une expérience client complète et intuitive. Ces innovations leur ont également permis de toucher un public plus large qui ne fréquentaient pas forcément ces antres de la seconde main. Au détour des allées de magasins comme Kiabi ou les Galeries Lafayette des corners dédiés à la seconde main ont fait leur apparition.

Certaines marques sont en rupture totale avec la démarche vertueuse initiale voire à la limite du greenwashing. Des enseignes proposent des services de collecte ou de rachat de vêtements usagés, qu’ils soient de la marque ou non. En contrepartie le donneur /ou vendeur se voit offrir un bon d’achat à faire valoir sur la nouvelle collection de l’enseigne.

En définitive, la concurrence sur le marché de la mode d’occasion est un véritable moteur d’innovation qui pousse les acteurs à se renouveler constamment pour proposer des produits et services toujours plus attractifs.

 

 

 

 

 

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